Médias
« Le film qui libère la parole des femmes. »
Justine Rossius, journaliste pour FEMMES D'AUJOURDHUI
Femmes d'Aujourd'hui
« C'est une expérience sensorielle ce documentaire. »
Sébastien Capette, responsable communication pour le cinéma Quai 10
Quai 10
« Humiliation, gestes non consentis, refus d'entendre la douleur... Ces violences gynécologiques et obstétricales banalisées sont dénoncées dans un documentaire belge: Echo(e)s. »
Zhen-Zhen Zveny, journaliste pour la DH
DH
« The poignant film, interspersed with animations, delves into the healing journey of these patients. »
The Brussels Times
« Le film arrive restitue une attention particulière à la singularité de chaque corps et revendique des pratiques basées sur le soin et la confiance entre les patient.es et les médecins. »
Nina Alexandraki, critique pour Cinergie
Cinergie
« Des réalités que Chloé De Bon filme en douceur, avec attention, bienveillance, poésie aussi (...) Un documentaire sensible qui ouvre une porte et qui invite au partage. »
Gaëlle Moury, journaliste pour Le Soir
Le soir
« Il y a beaucoup d’espoir, une forme d’apaisement et beaucoup d’empathie dans votre film. »
Véronique Thyberghien, journaliste pour la RTBF
RTBF Auvio
« Plus qu’un simple récit, ce film a aussi vocation à apaiser et à agir comme une thérapie collective, en donnant la parole de manière bienveillante eux témoins. »
Justine Rossius, journaliste pour le Flair
Le Flair
« Le documentaire Echo(e)s met donc en lumière de manière artistique et authentique des récits liés aux violences obstétricales et gynécologiques, livrés de manière immensément profonde et intime. »
Sud Info
BXFM
« Les violences gynécologiques et obstétricales se produisant par les mots, mais laissant aussi des traces sur les corps, le documentaire de Chloé De Bon joue avec les mouvements corporels de ses huit interviewé·es, lors de scènes de danse ou sous l’eau. »
Camille Wernaers, journaliste pour Les Grenades
Les Grenades
« Les femmes qui consultent un gynécologue peuvent avoir le sentiment que leurs inquiétudes sont minimisées. La Bruxelloise Chloé De Bon a réalisé le film Echo(e)s à ce sujet, dans lequel huit personnes témoignent. »
Bruzz
« Les images sont très belles, il y a plein de douceur, de la bienveillance dans le regard, des portraits dans l’eau, de la chorégraphie. Finalement vous leur offrez un peu une forme de thérapie. »
Sophie Léonard, journaliste pour la RTBF
RTBF Auvio
« C’est touchant et émouvant, et c’est la particularité de ce documentaire : ce soin qui est apporté. Il y a des moments dans l’eau, on sait à quel point ça rappelle le foetus, la naissance et il y a ce touché entre toutes ces personnes. C’est comme si pour un instant, on s’accordait un moment de bienveillance. »
Vanessa Lhuillier, journaliste pour BX1
BX1
La contraception masculine thermique, réelle alternative à la pilule ?
Chloé De Bon: “Comment se réapproprier son corps”
La pilule est encore l’une des méthodes contraceptives féminines les plus utilisées. Pourtant depuis quelques années, on commence à mettre en lumière ses graves effets secondaires comme: un risque de thrombose, d’embolie pulmonaire, de crise cardiaque ou encore d’accident vasculaire cérébral (AVC).